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C1: le PSG, solide et solidaire pour se rapprocher de son rêve de finale

Les Parisiens Marquinhos, Gianluigi Donnarumma et Joao Neves lors de la victoire (1-0) du PSG en demi-finale aller de Ligue des champions contre Arsenal à l'Emirates Stadium (Londres) le 29 avril 2025

19h42 CEST

30/04/2025

Balloté mais jamais coulé, le PSG a fait preuve mardi contre Arsenal (1-0) d'une grande solidité couplée à une solidarité exemplaire en défense pour se rapprocher d'une finale rêvée en Ligue des champions.

"Il y a eu un très grand travail individuel et collectif. Il y a eu un grand travail défensif des attaquants. Il y a eu un très grand travail offensif des milieux de terrain. Il y a eu un très grand travail défensif de la part de toute l'équipe", a commenté Luis Enrique, qui martèle depuis son arrivée en 2023 sa volonté d'avoir 11 attaquants et 11 défenseurs sur le terrain.

Cette idée qu'il soutient à l'envi devant la presse a été appliquée à la lettre et quasiment à la perfection par ses joueurs à l'Emirates Stadium, leur permettant de frapper un grand coup avant le match retour mercredi prochain au Parc des princes.

Ces efforts répétés pendant tout le match, notamment par l'attaquant géorgien Khvicha Kvaratskhelia, impressionnant dans ses replis défensifs, devront de nouveau être visibles lors de la seconde manche pour espérer voir la finale le 31 mai à Munich, cinq ans après celle perdue en 2020 contre le Bayern (1-0).

Après ce succès précieux mardi, le premier de l'histoire du PSG contre Arsenal, le coach parisien a voulu "vraiment souligner le travail de 14 ou 15 joueurs", quand il a été interrogé sur la performance du gardien Gianluigi Donnarumma, dans la lignée de celles contre Liverpool et Aston Villa avec deux arrêts décisifs (45e, 56e).

"Il est impossible de venir jouer à Arsenal contre un tel adversaire si fort et calculer ses efforts", a insisté le technicien, saluant le "jeu sans ballon" de ses joueurs qui ont "été solidaires car il y avait toujours, lors des phases défensives, l'aide des autres".

Après avoir asphyxié les Gunners lors des 40 premières minutes, les Parisiens ont fait preuve de caractère pour tenir l'ouverture rapide du score (4e), laissant très peu d'occasions aux Londoniens, presque impuissants offensivement.

Il fallait au moins cela pour contenir des joueurs comme Saka, Martinelli ou Odegaard.

- "On a tout fait ensemble", comme "une famille" -

"On a montré à quel point on avait confiance en nous, on a eu la bonne attitude, on a tout fait ensemble. On se sent comme une famille, ça se reflète sur le terrain", a commenté le défenseur Willian Pacho, à la hauteur de l'évènement comme son capitaine et coéquipier en charnière, Marquinhos.

"On est fiers de nous, on est une famille, c'est la clé pour en arriver là aujourd'hui", a répété Nuno Mendes, qui a réussi à limiter l'influence de Bukayo Saka, comme il l'avait fait avec Mohamed Salah contre Liverpool.

Parfaitement regroupés après l'heure de jeu, les Parisiens n'ont pas subi de grosses occasions, réussissant à réduire Arsenal, affaibli par les blessures et la suspension du milieu Thomas Partey -qui sera présent au retour- à ses coups de pied arrêtés, un secteur où les Londoniens sont ultra performants. Mais même dans ce domaine, Paris a soigné les détails et été sauvé par le hors-jeu (47e).

Mais si les Gunners ont reçu un gros coup sur la tête, le PSG doit se méfier de la réaction de la bête blessée dans une semaine.

"Il faut aller à Paris pour gagner, nous sommes plus que capables de le faire", a lancé l'entraîneur londonien Mikel Arteta.

"A 1-0, il ne faut pas qu'on baisse les bras. En Ligue des champions, on sait qu'il peut se passer beaucoup de choses folles", a commenté le défenseur français d'Arsenal, William Saliba.

Le PSG aurait tort de se croire déjà qualifié, d'autant que l'état d'Ousmane Dembélé, exemplaire dans son pressing et ses décrochages dans le cœur du jeu comme sur son but, interroge.

Après s'être assis au sol et avoir demandé le changement, grimaçant, il est sorti à la 70e minute, visiblement touché à la cuisse et épuisé.

Avant de monter dans le bus sans boiter, Dembélé a indiqué avoir "senti quelque chose mais ça va", alors que Luis Enrique a évoqué "un doute" sur sa participation à la seconde manche. Rentré dans la nuit, et au repos comme une majorité du groupe, il ne passera finalement pas d'examen médical mercredi, selon une source.

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